Recherche par auteur : Chabot, Pascal
3 résultats.
Lu par : Manon
Durée : 50min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 32222
Résumé:Pour déterminer si un robot ayant appris la philosophie devient pour autant philosophe, un jury interroge un chatbot, androïde aux aptitudes conversationnelles très développées.
Lu par : Maïté Couvidou
Durée : 8h. 29min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 68537
Résumé:" Exister dans le système, c'est souvent être assis derrière des vitres, face à un écran. " Des forces nouvelles, mixtes de technique, d'économique et de numérique, ont fait irruption au sein du technocapitalisme mondial. Nous assistons aux premiers effets de ce qu'il faut bien appeler des " ultraforces " qui, en créant un nouveau monde, déstabilisent les systèmes et fragilisent les existences. Dans ce contexte, nous devenons multiples, éclatés, parfois écartelés. En nous coexistent trois visages : un moi cherchant sa place dans un système constitué de vitres protectrices et d'écrans ; un sujet clivé par les ultraforces d'une mondialisation qui crée autant qu'elle détruit ; et enfin un soi précieux marqué par la saveur d'exister, la recherche d'équilibre et le goût des autres. Comment inventer une convergence entre ces trois facettes de nous-même ? Comment sortir du dualisme appauvrissant qui résulte de la surenchère entre systèmes fragilisés et ultraforces décomplexées ? Cela ressemble à la fin d'une ère. Peut-être le moment est-il venu de préparer la transition vers un monde où la culture de soi et le sens des autres deviendraient centraux.
Lu par : Jacobs Catherine
Durée : 3h. 28min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 26574
Résumé:Il fallait établir ce constat : avant d'être un problème individuel, le burn-out est d'abord une pathologie de civilisation. Marquée par l'accélération du temps, la soif de rentabilité, les tensions entre le dispositif technique et des humains déboussolés, la postmodernité est devenue un piège pour certaines personnes trop dévouées à un système dont elles cherchent en vain la reconnaissance. Mais ce piège n'est pas une fatalité. Face aux exigences de la civilisation postmoderne, on peut se demander comment transformer l'oeuvre au noir du burn-out afin qu'il devienne le théâtre d'une métamorphose, et que naisse de son expérience un être moins fidèle au système, mais en accord avec ses paysages intérieurs.